PSEUDO/PRÉNOM COMMENT AVEZ-VOUS DÉCOUVERT LE FORUM? VOTRE PERSO EST-IL UN INVENTÉ OU UN SCÉNARIO? PETIT MOT DE LA FIN

Code:

<div class="petittexterose">◪</div> JONAH HILL - deian alexander

Je suis un homme sensible qui a à coeur le bonheur des autres, sauf s'il est question de ma soeur. Le problème est certainement le fait que j'ai eu quelques problèmes avec les autres, lorsque j'étais gamin. Je n'ai jamais eu beaucoup d'amis, ce qui m'oblige continuellement à ''coller'' les gens que je côtoie, ne voulant pas qu'ils me glissent entre les doigts. Je suis également quelqu'un qui aime rendre service aux autres et recevoir une jolie accolade en échange. Je suis le ''bon ami'' des filles, celui qui n'a pas réellement d'avenir dans ce qu'il entreprend. Et c'est le cas, dans un sens. J'avais commencé des études pour devenir ingénieur et tout a basculé, à cause de l'Amour. Celui avec un grand A. Je ne suis pas celui qui est colérique, celui qui crie sur les gens ou qui abuse de la violence. Je crois plutôt que je suis le bon nounours, celui qui aime sans attendre quelque chose en retour et qui espère terminer sa vie tranquillement.

Je n'ai pas de bons souvenirs de mon enfance, puisque ces derniers sont continuellement entourés de Sophie, ma soeur. Je n'ai jamais eu de bons rapports avec elle, certainement à cause de jalousie. Sophie est mignonne, attirante pour les garçons et à l'école, les gens me parlaient pour pouvoir la connaitre. À la maison, chez nos parents, j'ai toujours eu l'impression de passer en dernier, que Sophie était la préférée. Même lorsque nous étions gamins, elle était la préférée de tout le monde. En avance sur son temps, elle passait ses journées tranquilles à parler avec les adultes tandis que moi, je restais en retrait, à jouer avec des peluches. Je ne sais pas pourquoi, mais le temps n'a pas aidé. Lorsque nous nous croisons, ils nous arrive trop souvent de nous lancer des vannes et de ne plus nous parler pendant des mois ensuite. Nous ne nous aimons pas vraiment, nous sommes trop différent. J'ai arrêté de parler à ma mère depuis quelques années pour cette raison. J'ai toujours eu l'impression qu'elle avait plus d'amour à donner à sa fille qu'à son fils. Chose très triste pour moi.

J'ai toujours été amoureux de la première de classe, la jolie fille que tout les garçons souhaitaient avoir, Catherine. Elle était l'amour de ma vie et encore aujourd'hui, je ne peux m'empêcher de baver lorsqu'elle passe près de moi. Nous travaillons ensemble depuis quelques mois déjà. Ceci m'a pris un temps fou avant d'approcher la patronne de la fleuristerie pour avoir cet emploi, celui de livreur. Même si je suis allergique aux fleurs et que je n'y connais rien lorsqu'il s'agit de rose et de lilas, je n'ai pu m'empêcher de sauter sur l'occasion et de prendre cet emploi, uniquement dans l'espoir de m'approcher de la belle Catherine. Elle, je ne pense pas qu'elle me voit. Elle fait plus attention à son travail et à son emploi du temps. Elle sort souvent avec ses amies et moi, je m'amuse à les suivre et soudainement, je la croise, comme si c'était une surprise. J'essaie de toujours m'inviter dans ses soirées, d'aller voir le même film au cinéma lorsqu'elle y va avec ses connaissances et ce, même si je n'ai pas les moyens d'agir de la sorte. Catherine va au restaurant, j'y vais aussi, prenant place à une table non loin de la sienne. C'est toujours comme ça que j'agis.

J'ai étudié pour devenir ingénieur, puisqu'il n'était pas possible pour moi d'étudier les plantes, comme Catherine. Trop de gens étaient dans ce domaine, je ne pouvais donc pas continuer vers cette lancée. Dès que j'ai su que Catherine était fleuriste et qu'elle travaillait au Heaven's Flower, j'ai commencé à m'y tenir, achetant des douzaines et des douzaines de roses par semaine. Ne connaissant pas l'horaire de travail de mon ''amie'', bien des fois j'ai du attendre des heures dans mon véhicule avant de la voir arriver et, à sa suite, pouvoir entrer dans le commerce pour me faire servir par elle. Des minutes de bonheur ensuite, ne sachant pas trop comment engager la conversation. Je ne sais combien de fois je lui ai fait mention que les fleurs étaient pour ma mère et non pour ma petite amie, puisque je n'avais pas de petite amie. Je voulais qu'elle le sache. Lorsque le commerce de fleurs à eu besoin d'un livreur, j'ai commencé à paniquer. C'était ma chance, je ne pouvais pas refuser. J'ai lâché mon emploi, pourtant très payant, pour me faire engager comme livreur de fleurs. Ce n'est pas ce qui paie le plus, mais une chance pour moi, je n'habite pas seul. J'ai un coloc depuis quelques semaines, ce qui m'aide à payer toutes les dépenses entourant le logement. Selon lui, je devrais parler clairement à Catherine, mais ce n'est pas mon avis. Je connais cette fille depuis des années, nous étions à la même école. Elle sait que j'existe, je travaille avec elle aussi. Pourtant, bien des choses m'empêche de l'approcher et de lui parler ouvertement.